Donc l'évaluation exemptée vise donc à évaluer dans la phase de conception elle-même, à avoir un premier a... Une première analyse de l'efficacité potentielle des systèmes de culture. Donc pour cela on s'est appuyés sur un modèle qui s'appelle... Qui a été construit dans l'unité éco développement, qui s'appelle Dexi-maladies, qui est un modèle qui fonctionne sur le principe d'un arbre d'évaluation. L'objectif, c'est d'évaluer la résilience du système vis-à-vis des maladies, et pour cela on décompose cette résilience en différentes étapes dont je décrirai simplement les éléments... La partie inférieure... La résilience globale du système vis-à-vis des maladies dépend du niveau d'infestation de la parcelle, de phénomènes de ruptures de cycles des bioagresseurs, ce qui renvoie aux questions notamment de successions de cultures, d'espèces plus ou moins sensibles, de variétés résistantes, etc., et puis des techniques qui visent à la réduction des populations de bioagresseurs.

Si on prend chacun des éléments en fait de l'arbre d'évaluation peut ensuite être relié à un certain nombre d'opérations, de techniques culturales. Par exemple, la boîte qui consiste à évaluer la compétition... Enfin les phénomènes de compétition entre micro-organismes à l'intérieur de... Dans les sols... Va dépendre à la fois des techniques et des apports d'amendements organiques, d'engrais verts, et également de diversité... Il dépendra également de la diversité des cultures. Une fois qu'on a défini les opérations culturales qui jouent sur la compétition, on peut également définir les variables qui permettent de caractériser ces opérations culturales. Dans le cas de l'apport d'amendement organique évidemment, on le caractérise par des variables classiques, qui sont la dose d'amendement organique, la fréquence d'apport, et le type d'amendement organique suivant s'il est plus ou moins frais ou plus ou mois mature.

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