La fertilité organo-minérale est fonction de la quantité et qualité de la matière organique^[1]. On devrait plutôt parler des matières organiques. En effet, selon le stade d'évolution, la MOS (matière organique du sol) se décline sous divers états : de la matière vivante jusqu'au dernier stade de l'humus. La MOS peut aussi se distinguer en fonction du niveau de séparation qu'on peut obtenir après analyse : les MOS labiles et particulaires (i.e. débris végétaux en cours de décomposition).

Pour protéger les MO et les enrichir, il faut chercher à équilibrer la balance entrées/sorties. Cela se traduit notamment par une diminution du travail du sol, pour éviter une sur-consommation de MO, combinée à une couverture maximale du sol et à une restitution régulière de biomasse végétale.

_{Auteurs : Maëva BOURGEOIS, Elise COQUILLART, Morgane COURNARIE, Claire FASSINO}

_{Superviseurs : Matthieu ARCHAMBEAUD et Stéphane DE TOURDONNET}