La quantité et le type de bactéries présentes dans un sol est donné par la nature du sol et les pratiques culturales

Pratiques agricoles ont une incidence directe et indirecte sur l'activité bactérienne, nottament le type de travail du sol, le genre de résidus de végétaux intégré s'il s'agit d'une légumineuse comme le soja (Glycine max l.) (nodulada de Bradrhizobium japonicum qui enrichit le sol avec des produits organiques azotés larges gamme favorisant la prolifération des populations de bactéries)

Les bactéries ont une distribution de type vertical dans le sol. Le taux de diminution du nombre de micro-organismes selon la profondeur du profil du sol peut être très dépendant de plusieurs facteurs, y compris le type de sol. Ainsi, dans tous les sols, le plus grand nombre de bactéries est dans la couche supérieure, correspondant à la zone la plus riche en humus. soulignant que les parcelles où les pratiques agricoles de conservation sont plus humu riche.

L'application d'engrais minéraux (20-22) fournit des minéraux pour les plantes et les bactéries, mais supprime également tels que ceux d'ammonium contenant biologiquement oxydé pour former de l'acide nitrique, ce qui réduit la population sensible représenté par la plus nombreuse reproduit dans l'neutralité c'est pourquoi, lorsque l'agriculture de conservation est pratiqué les communautés bactériennes restent inchangées.

La saison est une variable écologique liée à la température, les précipitations, les cultures agricoles et les racines des plantes dans le sol de climat tempéré, l'apparition de la minéralisation de la matière organique est au printemps, avec une baisse de l'été tandis que l'humidité favorable, la disponibilité des résidus végétaux des augmentations de populations bactériennes, ce qui diminue en hiver, il reste en sommeil pendant de longues périodes de gel et est réactivé au printemps.